Orphée aphone
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Orphée arrive en enfer pour réclamer son amour, Eurydice. Pour qu’elle lui soit rendue, ce poète à la voix miraculeuse doit chanter et émouvoir les divinités infernales. Mais brisé de douleur, Orphée a perdu sa voix. Il va lui falloir trouver d’autres moyens pour attendrir les dieux – et ceux-ci font les difficiles…
Pour sa première création comme artiste associé au T°, Vanasay Khamphommala creuse la question de la transformation : des récits, des esthétiques, des corps.
Musicien·ne·s, plasticien·ne·s, performers, l’accompagnent ainsi pour mettre à nu, derrière les récits pudiques dans lesquels nous nous drapons, les corps et les voix.
Vendredi 9 janvier à l'issue de la représentation : ORPHÉE À FOND — dancefloor mythique
Le mythe d’Orphée parle de la puissance de la musique, de sa capacité à rassembler, de son pouvoir de transformer. En prolongement de la création d'Orphée aphone, dont il signe l’univers sonore, Gérald Kurdian, musicien, artiste et performer, propose un dancefloor inclusif vendredi 11 janvier à l’issue de la représentation. Toutes les créatures, passées, présentes et futures, sont les très bienvenues.