Soirée John Carpenter

Soirée John Carpenter… l’idéal pour ceux qui seraient fatigués de la gentillesse obligatoire des fêtes de fin d’année…! 
Pour cette soirée nous avons retenu trois films, le très célèbre Halloween mais aussi deux autres peut-être moins connus : Fog et Le Prince des Ténèbres.

Et, comme toujours lors de ce genre de soirées, il y aura à boire et à manger entre les séances (sans que cela signifie quoi que ce soit quant à la qualité de l’oeuvre du Maître de l’Horreur !)

18h45 : FOG
Alors que le village d’Antonio Bay va fêter son centième anniversaire, trois pêcheurs sont assassinés et un étrange brouillard lumineux vient recouvrir la région. Le prêtre du village, lui, découvre que la communauté a été fondée sur le naufrage criminel d’un bateau transportant de l’or. Les victimes du naufrage, cent ans plus tard, semblent avoir des idées très personnelles et bien peu festives pour fêter l’anniversaire à leur manière…

21h15 : LE PRINCE DES TÉNÈBRES
Un prêtre, un professeur de physique et ses étudiants se penchent sur un mystérieux cylindre contenant un liquide vert en mouvement incessant. Ils parviennent à déchiffrer le texte qui accompagne l’objet et révèle… qu’il contient l’incarnation de Satan… Le contenu du cylindre va petit à petit contaminer les participants, qui se
mettent alors à essayer de s’entretuer. Les tentatives
de fuite sont vouées à l’échec… Satan, physique quantique, enfermement, défigurations et possessions… tous les ingrédients sont là pour une recette aussi explosive qu’horrifique !

23h30 : HALLOWEEN, LA NUIT DES MASQUES
Quinze ans après avoir été enfermé pour un meurtre commis alors qu’il était enfant, Michael Myers s’échappe d’un hôpital psychiatrique… la nuit d’Halloween, bien propice à tous les débordements… La seule personne disposée à croire qu’il est encore réellement dangereux et à vouloir le rechercher est son psychiatre. De son côté, Myers espionne un groupe de trois lycéennes qui s’apprêtent à faire du baby-sitting lors de cette soirée où le déguisement est la règle… Crime, folie, voyeurisme et dérèglements divers, pas de doute, tout est là pour le frisson, même si Carpenter s’est abstenu de trop de débordements « gore » et a préféré jouer sur les atmosphères.